Jour 1 (Rally di Roma Capitale 2019)

8h00. Après un bon petit déjeuner à l’italienne, nous nous dirigeons vers Affile pour reconnaitre notre première spéciale de la journée, la nouvelle de cette édition 2019. Il fait beau et déjà chaud autour de Fiuggi. Seulement 7 petits kilomètres de gribouillés et nous enchaînons sur Rocca di Cave, couper en 2 tronçons cette année. Avec des notes déjà vérifiées en course, tout est une question d’optimisation.
12h42. Pause déjeuner au village de Capranica, bien à l’ombre. Le rythme est plutôt cool, à l’inverse de l’année dernière où j’avais plutôt subit entre la chaleur, la prise de note et la difficulté des routes. En plus, la spéciale 9/13 a été raccourcie de 6km ce qui simplifie encore le boulot. Il nous reste un passage dans celle-ci et la spéciale 10/14 qui avait été cruel avec nous en 2018.
15h34. Nous en terminons avec les 4 vraies ES de cette première journée de reconnaissance. Au point stop de l’ES de Guarcino, les souvenirs de notre sortie de 2018 refont surface, sachant que le lieu de notre déception est à quelques centaine de mètre de là. Malheureusement pas de repos au gite, il nous faut prendre la direction d’Ostia, au sud de Rome pour y reconnaitre les 2 super spéciales qui clôtureront ce rallye.
17h40. L’agitation de cette station balnéaire de piètre qualité tranche avec la tranquillité des montagnes que nous avons quitté. Nous nous installons dans un restaurant pour travailler nos notes et mettre au propre road book et cahiers, puisqu’il nous faut patienter jusqu’à 20h30 pour reconnaitre ces interminables 1,1km !
20h56. Après avoir passer plus de temps dans les bouchons qu’à reconnaitre, avec en prime la surprise d’un jump ajouté que nous découvrirons le jour J, nous nous empressons de retourner à Fiuggi pour retrouver la quiétude de notre gîte. Arrivée prévue à 22h15 pour un atterrissage sur l’oreiller aux alentours de 22h45 !
Sources:
Photos: Sixième Degrés (Erik Agostinelli) / Victor Bellotto
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C’est en feuilletant un vieux magazine de l’année 1994, que mon attrait pour le rallye a commencé. Il aura pourtant fallu attendre le Monte Carlo 2000 pour que j’aperçoive en vrai ces autos et ces pilotes qui me faisaient tant rêver. Depuis, cette discipline hors normes à guider ma vie, sous différentes formes, et j’ai désormais la chance d’y travailler au quotidien comme coordinateur sportif et copilote.